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LFPC : mieux vaut prévenir que guérir

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LFPC : mieux vaut prévenir que guérir

Lors de son assemblée générale, le 26 mars dernier, la Ligue française pour la protection du cheval a entériné  ses objectifs pour cette année : le partenariat développé avec l’Avef, l’association vétérinaire équin française, sera prioritairement axé sur l’établissement de plusieurs guides de bonnes pratiques.

 

Un premier guide sera destiné aux délégués et aux vétérinaires pour homogénéiser les procédures de visites ou de contrôle dans les installations hippiques;

la LFPC souhaite diffuser un guide de bonnes pratiques lié à la détention d’équidés, surtout destiné aux amateurs, qui, par négligence ou méconnaissance, sont à l’origine de la majorité des interventions de la Ligue.

En outre, la présence de la profession vétérinaire à cette assemblée générale a permis de rappeler que la page 22 du livret  du cheval, doit impérativement être rempli par le propriétaire de l’animal et tenu à jour par le praticien vétérinaire lors de médications. Il en va de la sécurité sanitaire des consommateurs de viande. L’occasion également pour rappeler qu’il existe une liste non négligeable de substances médicamenteuses qui exclut automatiquement tout équidé de la consommation humaine. La LFPC  portera toute son attention cette année, sur le respect de cette réglementation tant auprès des propriétaires d’équidés et des vétérinaires, que des abattoirs dont certaines pratiques sont loin d’être en conformité avec la loi.

Enfin, la Ligue devrait revoir son fonctionnement local dans sa globalité dans les prochaines semaines, en ayant notamment recours aux vétérinaires équins volontaires pour les épauler sous forme de vétérinaires sentinelles, comme cela existe déjà de manière efficace pour la surveillance sanitaire du cheptel français à travers du Respe.

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